Présentation
Rue Schoelcher, rue Félix-Éboué, allée des Arlésiens… tout autour de l’église, les maisons créoles rivalisent de couleurs. Les plus vieilles sont des cases, blotties les unes contre les autres, où habitaient autrefois les travailleurs des plantations ; traditionnellement en planches de bois, elles reposent sur un muret de pierres ou de briques pour se prémunir de l’humidité. Au fil des années, les propriétaires rajoutaient des cases en agrandissant ainsi le module principal, la cuisine pouvant ainsi être séparée de la case principale, en cas d’incendie. Certaines de ces maisons ont encore des toits de tuiles écailles, typiques de l’architecture du début du XXe siècle, comme l’épicerie à côté de la mairie.